D’aucuns se réjouissent que le hasard ne nous ait pas collé le Barça en quart… Parce qu’ils ignorent combien de jeunes pale ales Maître Apoula a dû décapsuler pour détourner le sort.
D’aucuns n’en n’ont cure, mais Paris est en quart de la Ligue des Champions, et c’est le mercredi 6 et le mardi 12 avril qu’elle affronte de nouveau la Perfide Albion.
L’avis de notre expert en scenarii footballistiques :
L’aller au Parc des Princes : ambiance survoltée des grand soirs. Laurent Blanc doit gagner le match et creuser l’écart pour aborder sereinement le retour à Manchester. Si le PSG est toujours privé de Verratti, City devra se passer de titulaires puisque (7è) Kompagnie, Sterling et Hart sont blessés. Paris dominera naturellement la rencontre, Di Maria ruinera littéralement Gaël Clichy et servira à plusieurs reprises Ibra dans d’excellentes conditions. Le Suédois marquera facilement à 2m du but et régalera ensuite Lucas qui prend facilement de vitesse le vieux De Michelis avant de tromper Caballero. Cavani entrera à la 75è et marquera de la tête sur un corner de Motta. Le match plié, une bourde de Trapp en fin de rencontre permettra probablement aux Anglais de réduire le score et d’entretenir un faible espoir de qualification à la maison.
Bref, 3-1.
Le retour à l’Etihad Stadium : ambiance morne, grève des encouragements par les Cityzens en raison du prix des places jugé trop élevé. Hart fera son retour dans les buts mais Aguero ne parviendra pas à créer le trouble dans la défense parisienne. On sentira Yaya Touré et David Silva en manque d’inspiration… Les Parisiens se chargeront de la tâche, après un bon relais avec Ibra, Matuidi fusillera Hart par une frappe au ras du poteau. Y aura plus qu’à gérer. Pastore rentrera à la 75è pour assurer le show entre talonnades, petit ponts et louche aveugle dans la surface. Marquinhos scellera la qualif avec un but du genou après un cafouillage signé Sagna.
Bref, 0-2, Paris en demie avec un monstre en face.
La vision onirique de Maître Apoula :
La lune bleue t’as vu debout, seul, sans rêve, sans amour. Elle a entendu ta prière, et tout à coup, le seul, l’unique apparaîtra devant toi. Le seul que tes petits bras pourront embrasser. Il te murmurera « Aime moi, s’il te plaît » et tu te tourneras vers la lune, et elle sera d’or (ou de bleu de rouge et de blanc, on voit pas bien avec les giboulées).
Le prono de ton Supercoin :
Ici les places ne sont pas chères, d’ailleurs il n’y en a pas. Pas de grève des encouragements, c’est dans une euphorie tout à fait puérile que l’on descendra les restes de la 4 hops IPA (collab’ d’annive avec le gentleman brasseur Craig Allan), mais aussi ceux de la hoppy saison Super Franche. Et au retour on dégommera une single hop citra venue de Corrèze entre deux buts et deux kouts.
Attends toi à avoir chaud, à avoir bu, à n’avoir aucune intimité, et peut-être même pas de cacahuètes. Attends toi surtout à des jurons à moitié rigolards, des sourires de connivence, des débordements de mousse et des embrassades improvisées.
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QUID DES AUTRES MATCHES ?
Ils sont annoncés le jour même par l’Amicale Palmipède du Supercoin sur le petit f bleu
